Stratégie de durabilité : matérialité, empreinte carbone et circularité
La consultation des parties prenantes autour de sujets créateur de valeur
Nous identifions les parties prenantes (clients, fournisseurs, délégués du personnel, banques, administrateurs, association sectorielle) et choisissons avec vous les interlocuteurs clés à consulter et les sujets à aborder. La séniorité et l’expérience professionnelle de nos managers transforment ce dialogue en expérience valorisante pour toutes les parties.
La double matérialité par ESGIM
La double matérialité des standards ESRS sur lesquels se base la CSRD revient à analyser tant l’impact financier que l’environnement économique, social ou naturel peut avoir sur l’entreprise, que l’impact de cette dernière sur son environnement.
La matérialité financière est généralement discutée en une demi-journée avec le responsable financier. La matérialité d’impact est traitée lors d’une autre demi-journée de “brainstorming” avec une équipe multidisciplinaire. Ensuite, nous approfondissons les sujets en entretiens individuels avec les collaborateurs désignés, tout en limitant leur implication au strict minimum. L’ensemble des hypothèses élaborées pendant ce processus est dûment documenté, conformément à la CSRD.
Nous présélectionnons à l’avance les sujets matériels et les analysons de manière interactive et ludique à travers des fiches pratiques dont le grand mérite est de procurer une vision transversale “désilotée” de la durabilité dans l’entreprise.
La mesure de l’empreinte carbone de vos produits et/ou services
La mesure de l’empreinte carbone des produits ou services d’une entreprise est un processus technique et complexe nécessitant la maîtrise du standard GHG Protocol ou du bilan GES de l’Ademe. Elle inclut l’identification et la collecte de données disparates (euros, m3), converties en unités standardisées (kWh, tCO2e) via des facteurs de conversion spécifiques. Les méthodes “location-based” et “market-based” pour les émissions indirectes (Scope 2) ajoutent à la complexité. Le reporting exige une documentation transparente et l’utilisation de logiciels spécialisés pour centraliser les données. La Belgique est riche en acteurs spécialisés dans ce domaine. Nous vous proposerons le prestataire local correspondant le mieux à vos besoins et nous encadrerons son travail pour aller à l’essentiel, en particulier s’agissant des pistes de réduction des émissions. L’objectif n’est en effet pas de bouleverser le fonctionnement de l’entreprise ou de suggérer des investissements dispendieux.
La récolte des données et la documentation de vos procédures
Outre les données techniques nécessaires à la mesure de l’empreinte carbone, de nombreux autres documents doivent être rédigés. La plupart du temps il s’agit de procédures ou de bonnes pratiques déjà en vigueur dans l’entreprise, mais que l’on a pas pris le temps de formaliser ou de mettre à jour. Nous avons des modèles, nous savons ce qui est utile et ce qui l’est moins. Dans le cadre de notre accompagnement à long terme, nous pouvons mettre en place une vraie gestion documentaire et un “data vault” avec notre partenaire dFakto pour alimenter la publication d’un rapport volontaire VSME et pourquoi pas, un tableau de bord d’entreprise.
Exemple de document
Le développement d’une politique d’approvisionnement responsable
Passer de la notion d’achat et d’une simple approche prix/qualité à une politique d’approvisionnement responsable en intégrant des critères environnementaux, sociaux et éthiques dans le choix des fournisseurs renforce la résilience de la chaîne d’approvisionnement, réduit les risques, améliore la réputation de l’entreprise et amène des économies à long terme.
La définition de quelques engagements SMART
Des engagements SMART sont Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis. Exemples :
Réduire l’empreinte carbone de 50 % d’ici 2030 en améliorant l’efficacité des processus de 20 % et en limitant l’utilisation de combustibles fossiles à 50 % de la consommation de 2019.
Diminuer la facture d’électricité de 40% et devenir autonome les 2/3 de l’année en installant 300 MWh de panneaux photovoltaïques sur les toits.
Concentrer sa recherche et développement sur des procédés à impacts positifs significatifs sur la durabilité. Intégrer lʼécoconception dans 100% de ses nouvelles machines dʼici fin 2024.
Circularité et éco-conception
La circularité consiste à maximiser l’efficacité des ressources en réutilisant, recyclant et réduisant les déchets à chaque étape de production, tout en intégrant l’éco-conception pour créer des produits durables et respectueux de l’environnement.
